on vit on parle victor hugo analyse
ClaudeGueux, avant de devenir le personnage d'une nouvelle écrite par Victor Hugo, a fait parti d'un fait divers réel dont il a été le héros. En effet, c'est en lisant la gazette des Tribunaux en 1832 que Victor Hugo découvre l'histoire de cet homme et notamment des circonstances de son emprisonnement et de sa condamnation à mort.
VictorHugo a choisi le décor évoqué dans les vers 1 à 12 pour suggérer l’effroi auquel Caïn est en proie. On remarque la valeur expressive des allitérations en «v» et en «f» des vers 1et 3, de l'allitération en «l» du vers 2. Caïn est «livide», c’est-à-dire de la couleur du plomb, de la couleur des «tempêtes» qui l
VictorHugo – Les Contemplations – Livre IV , 11 – On vit, on parle – analyse 01. EAF Pack / Études et analyses littéraires / Littérature / Victor Hugo. 0 commentaire. 5 min de lecture. Vous devez vous connecter pour voir ce contenu. Connexion.
ULBACH Louis (1822-1889) : L'âne par Victor Hugo, conférence faite à Courbevoie, le 7 novembre 1880 au profit de la bibliothèque populaire .-. Paris : Calmann-Lévy, 1881.- 19 p. ; 22 cm. Saisie du texte : S. Pestel pour la collection électronique de la Bibliothèque Municipale de Lisieux (30.XI.2001) Texte relu par : A. Guézou.
Quoiquele plus petit vaille le plus prospère ; Car tous les hommes sont les fils du même père ; Ils sont la même larme et sortent du même oeil. On vit, usant ses jours à se remplir d’orgueil ; On marche, on court, on rêve, on souffre, on penche, on tombe, On monte. Quelle est donc cette aube ? C’est la tombe.
Site De Rencontre Sans S Inscrire. Temps de lecture < 1 minuteOn vit, on parle, on a le ciel et les nuagesSur la tête ; on se plaît aux livres des vieux sages ;On lit Virgile et Dante ; on va joyeusementEn voiture publique à quelque endroit charmant,En riant aux éclats de l’auberge et du gîte ;Le regard d’une femme en passant vous agite ;On aime, on est aimé, bonheur qui manque aux rois !On écoute le chant des oiseaux dans les boisLe matin, on s’éveille, et toute une familleVous embrasse, une mère, une sœur, une fille !On déjeune en lisant son journal. Tout le jourOn mêle à sa pensée espoir, travail, amour ;La vie arrive avec ses passions troublées ;On jette sa parole aux sombres assemblées ;Devant le but qu’on veut et le sort qui vous prend,On se sent faible et fort, on est petit et grand ;On est flot dans la foule, âme dans la tempête ;Tout vient et passe ; on est en deuil, on est en fête ;On arrive, on recule, on lutte avec effort …Puis, le vaste et profond silence de la mort ! Read more articles
"On vit, on parle, on a le ciel et les nuages Sur la tête ; on se plaît aux livres des vieux sages ; On lit Virgile et Dante ; on va joyeusement En voiture publique à quelque endroit charmant, En riant aux éclats de l'auberge et du gîte ; Le regard d'une femme en passant vous agite ; On aime, on est aimé, bonheur qui manque aux rois ! On écoute le chant des oiseaux dans les bois Le matin, on s'éveille, et toute une famille Vous embrasse, une mère, une soeur, une fille ! On déjeune en lisant son journal. Tout le jour On mêle à sa pensée espoir, travail, amour ; La vie arrive avec ses passions troublées ; On jette sa parole aux sombres assemblées ; Devant le but qu'on veut et le sort qui vous prend, On se sent faible et fort, on est petit et grand ; On est flot dans la foule, âme dans la tempête ; Tout vient et passe ; on est en deuil, on est en fête ; On arrive, on recule, on lutte avec effort... - Puis, le vaste et profond silence de la mort !" Hugo, Les Contemplations, IV, XI En 1843, Victor Hugo a perdu sa fille Léopoldine, noyée avec son mari Charles Vacquerie, lors d’une promenade en barque sur la Seine, à Villequier. Elle avait dix-neuf ans. En 1846, Juliette Drouet, sa maîtresse, perd une fille de vingt ans, Claire Pradier, morte de tuberculose. C’est en revenant du cimetière que le poète compose un texte qu’il fera figurer dans le recueil des Contemplations en 1856. Problématique possible En quoi ce poème, à travers l’expérience de la mort, propose-t-il une réflexion sur l’existence ? I- Le résumé d’une vie a- La jeunesse Le poème commence par l’enfance et son insouciance soulignée par le rythme binaire on vit, on parle, on a le ciel et les nuages / Sur la tête » puis continue par l’éveil de la vie intellectuelle on lit Virgile et Dante » mais inconscience des menaces qui pèsent sur l’homme on ne comprend pas les avertissements des vieux sages ». On ne sait pas lire non plus la nature ciel et nuages / rejet Sur la tête », jours gais et sombres, menaces, mais on ne voit que son côté charmant » ; le chant des oiseaux dans les bois » s’oppose à la tempête » v. 17. Le poème met l’accent sur les voyages qui forment la jeunesse et sont source de gaieté ; peu importe l’endroit, pourvu qu’il soit charmant » cf quelque », c’est-à-dire n’importe lequel ; on rit » de tout, joyeusement », des éclats de l’auberge ». C’est pourtant pendant un voyage dans une auberge » qu’Hugo apprendra la mort de sa fille Léopoldine. On passe des premiers émois de l’adolescence, un regard … vous agite », à l’amour partagé, on aime, on est aimé » renforcé par la polyptote. b- L’évocation d’une journée de jeune homme Une journée entière est évoquée le matin », on déjeune » repas de midi, tout le jour ». La première valeur est la famille ». Le jeune amoureux est devenu père de famille famille unie et complète, toute une famille » contre-rejet et trois générations représentées, on note le mot fille » et le point d’exclamation en fin de vers. Cette famille nous entoure d’affection, vous embrasse » ; rien ne semble pouvoir entamer ce bonheur » amour » rime avec tout le jour » ! La sérénité est totale on s’éveille », terme qui marque une certaine spontanéité ; le rythme est parallèle toute une famille… et trois composants, tout le jour » … et trois composants ; aucune restriction n’est apportée toute … tout ». Le père est au centre de cette famille contre-rejet vous embrasse » ; mais celle-ci est au centre de ses pensées » espoir » pour l’avenir de ses enfants ? L’autre grande valeur représentée est le travail ». Le jeune voyageur est maintenant engagé dans la vie professionnelle, mais allusion mêlée » à l’amour » de la famille » Désormais il s’agit de pensée » et non plus d’amusements ». Travail apparemment accaparant obligé de lire » en déjeunant ! Serait-ce aussi l’indice d’une moins grande attention portée à la famille » ? De plus, le journal » a remplacé les livres. c- Les tumultes de l’âge mûr Au vers 13, la vie arrive avec … » implicitement, avant il ne s’agissait pas de la vie !? On note d’ailleurs que la vie » devient sujet grammatical. Les combats sont menés sur plusieurs fronts vie affective passions » et non amour, terme souligné par la diérèse passi-ons », troublées » cf adultère et/ou amour troublé » par la mort de la fille ; deuil », fête », mais tout passe » le temps efface même le deuil ? ; vie intellectuelle luttes politiques . On jette sa parole » implique la violence, la parole est assimilée à une arme ; sombres assemblées » hostilité, renforcée par les allitérations en /s/. II- Une méditation sur la condition humaine a- Les destinataires de cette méditation Apparemment, Hugo s’adresse à l’humanité tout entière 22 occurrences du pronom on » inclusif qui englobe tout le monde, contrairement aux je » des autres textes hugoliens. Mais parfois, il s’adresse uniquement à des lecteurs … masculins le regard d’une femme … vous agite » ; une mère, une sœur, une fille » uniquement le sexe féminin ; on jette sa parole aux sombres assemblées » pas de vie politique pour les femmes à son époque. b- une philosophie assez pessimiste Ce texte est une sobre méditation sur la destinée humaine. Il présente des faits sans commentaire pas une seule question ; trois exclamations bonheur ! », fille ! », mort ! ». Ironie des adjectifs possessifs on se croit propriétaire de quelque chose ! son journal »…sa pensée » … »sa parole » Mais impression de fatalité l’homme n’est pas maître de son destin. Au début du texte, on » est sujet, l’homme agit et décide ; au vers 13, puis au vers 15, la vie » et le sort » deviennent sujets ; l’humanité est une mer ballottée au gré du vent. »Le navire, c’est l’homme. » Impuissance et incompréhension face à la rupture de la mort. Après de nombreux points virgules qui soulignent la continuité, l’enchaînement des actes d’une vie, les trois points de suspension et le tiret, présent dans la première édition marquent une rupture, renforcée par le puis », seul mot de liaison du texte. Le mystère de la mort est vraiment vaste et profond » ! Ce poème résume une vie de l’insouciance au deuil. Les ciels et les nuages du premier vers laissent place au vaste et profond silence de la mort ». C’est une vision pessimiste de l’existence qui nous est peinte ici. Ouverture possible avec Demain dès l’aube ». source
Quid novi?Informations complémentaires au cours de français de seconde. Publié le 8 janvier 2011 Lisez d'abord le poème, ici. Voici ensuite deux exemples de commentaires, rédigés par vos camarades, qui concernent tous deux la partie "Une plainte lyrique à la fois intime et universelle". Deuxième proposition de commentaire
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Victor Hugo, un écrivain romantique et l’un des plus importants poètes de langue française dans l’histoire du dix-neuvième siècle. Son œuvre littéraire multiple et de grande qualité rencontre un grand succès populaire, à titre d'exemple Les Misérables en 1862, Notre-Dame de Paris en 1831, avec d’autres recueils comme Les Feuilles d'automne 1831, Odes et Ballades 1826, et bien aussi Les Contemplations 1856. Parmi ses plus beaux poèmes que j'ai aimés et aime encore et toujours, L'amour secret ! Poème Amour secret Poète Victor Hugo / Recueil Toute la lyre 1888 et 1893 Amour secret Ô toi d'où me vient ma pensée, Sois fière devant le Seigneur ! Relève ta tête abaissée, Ô toi d'où me vient mon bonheur ! 💗 Quand je traverse cette lieue Qui nous sépare, au sein des nuits, Ta patrie étoilée et bleue Rayonne à mes yeux éblouis. 💗 C'est l'heure où cent lampes en flammes Brillent aux célestes plafonds ; L'heure où les astres et les âmes Échangent des regards profonds. 💗 Je sonde alors ta destinée, Je songe à toi, qui viens des cieux, A toi, grande âme emprisonnée, A toi, grand cœur mystérieux ! 💗 Noble femme, reine asservie, Je rêve à ce sort envieux Qui met tant d'ombre dans ta vie, Tant de lumière dans tes yeux 💗 Moi, je te connais tout entière Et je te contemple à genoux ; Mais autour de tant de lumière Pourquoi tant d'ombre, ô sort jaloux ? 💗 Dieu lui donna tout, hors l'aumône Qu'il fait à tous dans sa bonté ; Le ciel qui lui devait un trône Lui refusa la liberté. 💗 Oui, ton aile, que le bocage, Que l'air joyeux réclame en vain, Se brise aux barreaux d'une cage, Pauvre grande âme, oiseau divin ! 💗 Bel ange, un joug te tient captive, Cent préjugés sont ta prison, Et ton attitude pensive, Hélas, attriste ta maison. 💗 Tu te sens prise par le monde Qui t'épie, injuste et mauvais. Dans ton amertume profonde Souvent tu dis si je pouvais ! 💗 Mais l'amour en secret te donne Ce qu'il a de pur et de beau, Et son invisible couronne, Et son invisible flambeau ! 💗 Flambeau qui se cache à l'envie, Qui luit, splendide et clandestin, Et qui n'éclaire de la vie Que l'intérieur du destin. 💗 L'amour te donne, ô douce femme, Ces plaisirs où rien n'est amer, Et ces regards où toute l'âme Apparaît dans un seul éclair, 💗 Et le sourire, et la caresse, L'entretien furtif et charmant, Et la mélancolique ivresse D'un ineffable épanchement, 💗 Et les traits chéris d'un visage, Ombre qu'on aime et qui vous suit, Qu'on voit le jour dans le nuage, Qu'on voit dans le rêve la nuit, 💗 Et les extases solitaires, Quand tous deux nous nous asseyons Sous les rameaux pleins de mystères Au fond des bois pleins de rayons ; 💗 Purs transports que la foule ignore, Et qui font qu'on a d'heureux jours Tant qu'on peut espérer encore Ce dont on se souvient toujours. 💗 Va, sèche ton bel œil qui pleure, Ton sort n'est pas déshérité. Ta part est encore la meilleure, Ne te plains pas, ô ma beauté ! 💗 Ce qui manque est bien peu de chose Quand on est au printemps vermeil, Et quand on vit comme la rose De parfums, d'ombre et de soleil. 💗 Laisse donc, ô ma douce muse, Sans le regretter un seul jour, Ce que le destin te refuse Pour ce que te donne l'amour ! 💑
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