les douze mois de l année poésie

»Vive les vacances! » » En Août on admire les papillons et on découvre la rosée du matin. En Septembre on retourne à l’école et on dit bonjour à l’automne. En Octobre on en profite pour fêter l’Halloween! En Novembre on dit bonjour à l’hiver. En Décembre on se prépare à fêter Noël. Ces douze mois de l’année sont là Avril les oiseaux sont sur les fils. 2 0 obj Qunad le mois de mai s'en vient, il met tout le monde à l'aise devant un panier de fraises. Les douze mois de l’année. Juin, au revoir tous les copains. Écrivez le mot EN MAJUSCULES et SANS ACCENT Lesdouze mois de l'année pour apprendre le calendrier de Janvier à Décembre, une petite histoire animée avec les paroles de la comptine pour chacun des mois Douzemois et toi / Yvon Le Men. Livre | Yvon Le Men | 2005. Ce recueil de 12 poèmes sur les mois de l'année révéle le moi intime du poète à travers ses confidences mais amorce également des réflexions universelles : la vie, la mort, le quotidien, les Providedto YouTube by Believe SASDouze mois dans l'année · Anny Versini · Jean-Marc Versini · Anny Versini · Jean Marc Versini · Anny Versini · Jean Marc Ve Site De Rencontre Sans S Inscrire. now browsing by category Posted by on avril 5, 2017 le moulin au printemps Le moulin au printemps Le chaume et la mousse Verdissent les toits La colombe y glousse, L’hirondelle y boit. Le bras d’un platane Et le lierre épais Couvrent la cabane D’une ombre de paix. La rosée en pluie Brille à tout rameau Le rayon essuie La poussière d’eau . Le vent qui secoue Les vergers flottants, Fait sur notre joue Neiger le printemps. Alphonse de Lamartine le jury, composé cette fois-ci de Clémentine, Lana, Paul, et Samuel, a choisi ces illustrations Bravo à leurs auteurs ! Posted by cm1 on mars 7, 2017 poésie les hiboux Les Hiboux Ce sont les mères des hiboux Qui désiraient chercher les poux De leurs enfants, leurs petits choux, En les tenant sur les genoux. Leurs yeux d’or valent des bijoux Leur bec est dur comme cailloux, Ils sont doux comme des joujoux, Mais aux hiboux point de genoux ! Votre histoire se passait où ? Chez les Zoulous ? Les Andalous ? Ou dans la cabane bambou ? A Moscou ? Ou à Tombouctou ? En Anjou ou dans le Poitou ? Au Pérou ou chez les Mandchous ? Hou ! Hou ! Pas du tout, c’était chez les fous. Robert Desnos Voici les illustrations choisies par le jury composé de Julia, Juliette, Luca et Juliana. Posted by cm1 on février 6, 2017 Je vous présente le multiplicateur quatre. Voici les illustrations sélectionnées par le jury. Séraphine, dans sa main, Tient quatre fleurs du jardin Qu’elle a cueillies à quatre pattes Quatre fois un, quatre… Va au marché, choisit des truites, Quatre fois deux, huit… Qu’elle pose dans sa blouse, Quatre fois trois, douze… Achète un panier de fraises, Quatre fois quatre, seize… Une bouteille de vin Quatre fois cinq, vingt… Un cornet de belles dattes, Quatre fois six, vingt-quatre… Puis, une douzaine d’huîtres Quatre fois sept, vingt-huit… Puis un ananas juteux, Quatre fois huit, trente-deux… Enfin, des grappes de cassis, Quatre fois neuf, trente-six… Pour la fête de sa tante, Quatre fois dix, quarante. Jean Tardieu Posted by cm1 on janvier 16, 2017 les douze mois Voici les douze mois, Ils marchent trois à trois ! Avec son chapeau blanc de neige, Janvier mène le cortège. Et février sur le même rang, A honte d’être si peu grand. A ses côtés ; c’est mars, fantasque, Le nez mouillé par la bourrasque. Voici les douze mois, Ils marchent trois à trois ! Admirez avril qui s’avance, Son bonnet de fleurs se balance. Mai, joyeux, lui donne le bras, Vêtu de rose et de lilas, Et juin, les tempes vermeilles A des cerises aux oreilles. Voici les douze mois, Ils marchent trois à trois ! Sur le chemin sec, juillet trotte, Il a du foin dans chaque botte, Août s’en va couronné de blé Et par la chaleur accablé. Et septembre titube et joue Avec des grappes sur la joue. Octobre porte sur la tête La pomme à cidre et la noisette. Novembre, dans ses maigres bras, Tient un tas de vieux échalas, Et décembre ferme la marche, Triste et froid comme un patriarche ! Salut les douze mois Qui marchent trois à trois ! Octave Aubert Voici les illustrations choisies par le jury composé de Marine, Basile, Lisa et Philippine Bravo aux auteurs ! Et donnez votre avis sur notre récitation en vidéo… [youtube] Posted by cm1 on octobre 5, 2016 Poésie le château fort Le château-fort Tapis tout au fond de leur tanière De pauvres hères peureux défendent une bannière. Contre des secousses violentes inéluctables, Ils arment des portes inutilement secourables. La terre tremble. Comment ignorer Les fissures des raisons craquelées ? Les archers derrière les meurtrières Guettent la plaine infinie jalonnée d’ornières. Les seigneurs se toisent sans se voir Et le climat frise le désespoir ! Les gardes arpentent les tours crénelées Casqués, harnachés de la tête aux pieds, Scrutant au loin la moindre annonce Attentifs à la moindre semonce. C’est d’eux d’où viendront les ordres D’où naîtront tous les désordres ! Le château est solide, le pont-levis est levé ; Les magasins sont pleins, les greniers pleins de blé, Les gueux sont heureux, ils n’ont rien à craindre Le seigneur veille sur eux, rien à se plaindre… Mais alors monsieur tout est vrai, des jouets aux archers Des archers aux jouets ? Gilbert CZULY-MSCZANOWSKI Posted by cm1 on septembre 23, 2016 poésie les bêtes noires ont bon dos d’Alain Serres Il était un scarabée doré à tête noire que toute la forêt avait pris pour bête noire. Chaque fois qu’il manquait une marche à un escalier c’était évidemment la faute aux dents du scarabée. Chaque fois que le mauvais temps tempêtait, le coupable à châtier, c’était encore lui, le scarabée. Cela, tous les enfants, tous les animaux et les enfants des enfants de tous les animaux se l’étaient répété. Ils avaient juré de le chanter bien haut et à perpétuité sur tous les toits, sur toutes les radios, même celle des oies, des ânes ou des corbeaux. Alors, à l’aube d’une aurore, le scarabée quitta cette injuste forêt et son triste sort, suivant les traces d’un avion qui filait vers Oulan-Bator. Depuis, règne en ces lieux inhospitaliers, une terrible obscurité. Elle ne soulève jamais ses ailes. C’était en effet le dos du scarabée qui éclairait cette forêt en y reflétant la petite lumière du ciel. Il faut savoir se méfier des chansons que l’on répète sans y songer, il y a parfois plus noir que la plus noire des bêtes noires. Voici les illustrations choisies par le jury de la semaine. Bravo aux dessinateurs !! Prix spécial de la maîtresse Quelques questions de compréhension ici ! Vos scores en commentaires… Quelques mois en détails Pour le mois d’OCTOBRE, j’ai mis une silhouette de tronc sans rien de plus. Avec dans l’idée 2 options possibles => coller des gommettes triangulaires pour symboliser les feuilles qui tombent => tamponner de l’encre avec un coton-tige pour réaliser ces mêmes feuilles tombantes Pour le mois de DÉCEMBRE, un sapin quasi vide à décorer avec paillettes, gommettes, pompons, petites choses brillantes en tout genre. On peut également dessiner d’autres cadeaux au pied du sapin ou travailler sur un collage. Pour le mois de MARS, j’ai laissé une partie blanche en bas pour permettre => soit de dessiner des fleurs => soit de coller des fleurs faites à l’emporte-pièces => soit coller quelques gommettes pour créer ses propres fleurs Pour les autres mois, je prévois du coloriage principalement en variant au maximum les outils utilisés crayons de couleurs, feutres, craies… Fichier complet à télécharger ici Sur le même thème Navigation de l’article Les Cabardouche à la barre des CROQUEURS DE MOTS pour le défi n°216 nous demandent d'égrener les mois de l'année pour le 2e jeudi poésie à la manière d'Alain Bosquet Janvier pour dire à l'année bonjourFévrier pour dire ...Mars pour dire ......Et douze mois de plus mon ... ma ... pour te dire ....... Janvier pour dire à l'année merci pour cette nouvelle aventure Février pour dire à l'hiver qu'il peut encore prendre son temps Mars pour dire au printemps de veiller sur les bourgeons Avril pour dire aux abeilles que les fleurs sont au rendez-vous Mai pour dire aux marguerites voici bientôt les coquelicots Juin pour dire aux écoliers que l'école est bientôt finie Juillet pour dire aux orages d'épargner les récoltes et les moissons Août pour dire aux tomates de faire rougir les potagers Septembre pour dire aux perdrix de prendre garde aux chasseurs Octobre pour dire au-revoir aux oiseaux migrateurs Novembre pour dire aux vergers merci pour vos pommes Décembre pour dire aux maisons de réchauffer tous les corps et douze mois de plus mes enfants* pour vous dire C'est à vous maintenant de vivre et de prendre soin de la vie. Alain Bosquet, 1919 - 1998, né Anatole Bisk poète, écrivain et journaliste français d'origine russe *mes enfants, évidemment et aussi tous les enfants de la terre dont ceux qui prennent conscience qu'il est urgent de faire autrement, comme le dit et le fait la jeune suédoise Greta Hunberg Janvier prend la neige pour châle ; Février fait glisser nos pas ; Mars de ses doigts de soleil pâle, Jette des grêlons aux lilas. Avril s’accroche aux branches vertes ; Mai travaille aux chapeaux fleuris ; Juin fait pencher la rose ouverte prés du beau foin qui craque et rit. Juillet met les œufs dans leurs coques Août sur les épis mûrs s’endort ; Septembre aux grands soirs équivoques, Glisse partout ses feuilles d’or. Octobre a toutes les colères, Novembre a toutes les chansons Des ruisseaux débordant d’eau claire, Et Décembre a tous les frissons. Janvier pour dire à l'année bonjour » Février pour dire à la neige il faut fondre » Mars pour dire à l'oiseau migrateur reviens » Avril pour dire à la fleur ouvre-toi » Mai pour dire ouvriers, nos amis » Juin pour dire à la mer emporte-nous très loin » Juillet pour dire au soleil c'est ta saison » Août pour dire l'homme est heureux d'être l'homme » Septembre pour dire au blé change-toi en or » Octobre pour dire camarades, la liberté » Novembre pour dire aux arbres déshabillez-vous » Décembre pour dire à l'année adieu, bonne chance » Et douze mois de plus par an Mon fils Pour te dire que je t'aime. Alain Bosquet

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