theo et hugo dans le meme bateau

Théoet Hugo dans le même bateau. Réalisé par Olivier Ducastel, Jacques Martineau. Avec Geoffrey Couët, François Nambot, Mario Fanfani. Date de sortie : 27 avril 2016 (1h 37). Drame Ducastel France François Nambot Geoffrey Couet Mario Fanfani Martineau Théo et Hugo dans le même bateau. par Fadette Drouard Journaliste. Partagez cet article # Théoet Hugo dans le même bateau . Olivier Ducastel, Jacques Martineau . France / 2015 / 97 min Mario Fanfani. Dans un sex-club, les corps de Théo et Hugo se mêlent en une étreinte passionnée. Passé l'emportement du désir, les ChezBrandfield, vous achetez les meilleurs Hugo Boss portefeuilles, comme ce Hugo Boss HUGO Theo Black Ritsportemonnee 501. Acheter un Hugo Boss portefeuille chez Brand Listento Théo et Hugo dans le même bateau (Bande originale du film) on Spotify. Karelle · Album · 2016 · 12 songs. Karelle · Album · 2016 · 12 songs. Sign up Log in Théo& Hugo dans le même bateau (France 2015), film de Olivier Ducastel, Jacques Martineau avec Geoffrey Couët, Mario Fanfani, François Nambot, Bastien Gabriel - THéO & HUGO DANS LE MêME BATEAU (Drame) - Cinema, film à l'affiche Site De Rencontre Sans S Inscrire. Cinéma La sensuelle séquence d’ouverture du film de Ducastel et Martineau ne tient pas toutes ses promesses. Reste une promenade entre Strasbourg-Saint-Denis et Stalingrad. Article réservé aux abonnés L’avis du Monde » – pourquoi pas Il est beau, le lancement du bateau de Théo et Hugo. C’est un de ces vaisseaux nocturnes et parisiens, illuminé de rouge, dans la cale duquel des hommes se retrouvent pour faire l’amour. Théo Geoffrey Couët semble un peu intimidé, comme s’il venait là pour la première fois ; Hugo François Nambot se meut avec grâce et assurance. Dans cet intérieur, entre lupanar et abri antiatomique, quelque part vers Strasbourg-Saint-Denis, ils se caressent, se pénètrent. Olivier Ducastel, Jacques Martineau et le chef opérateur filment cette séquence qui paraît très longue mais dure moins d’une demi-heure, sans simulacre apparent, avec une attention soutenue et complice. Les gestes sont chorégraphiés, juste assez pour élever le moment au-dessus de la trivialité, sans remettre en cause la spontanéité du geste. Et le moment lui-même apparaît ainsi riche de toutes les possibilités, qu’il reste un instant de grâce sans suite ou le début d’une histoire. Documentaire prophylactique Ce qui vient après n’est pas un naufrage, mais c’est comme si le paquebot se transformait en canot de sauvetage. Le parti pris est celui du temps réel », une illusion qu’il faut manier avec prudence, tant elle oblige à comprimer dans le temps si rapide du cinéma toute la lenteur du quotidien, fût-il nocturne. Ducastel et Martineau suivent Théo et Hugo à la sortie de la boîte, saisissent les galanteries qu’ils échangent avant que ne se noue un conflit le premier ne s’est pas protégé, le second est séropositif. Ils suivent un itinéraire fléché dans l’Est parisien entre canal Saint-Martin et Stalingrad, passant par l’hôpital Saint-Louis où ils mettent en place le palliatif à la négligence de Théo. Malgré l’engagement des deux comédiens, malgré la complaisance du décor, la liberté de la séquence d’ouverture s’est évaporée. La visite à l’hôpital se voit comme un documentaire prophylactique, les tentatives d’humour tombent à plat. Ce n’est que par instants que Théo et Hugo retrouvent le sens du danger et l’intensité qui présidèrent à leur rencontre charnelle. Film français d’Olivier Ducastel et Jacques Martineau avec Geoffrey Couët et François Nambot 1 h 37. Sur le Web Vous pouvez lire Le Monde sur un seul appareil à la fois Ce message s’affichera sur l’autre appareil. Découvrir les offres multicomptes Parce qu’une autre personne ou vous est en train de lire Le Monde avec ce compte sur un autre appareil. Vous ne pouvez lire Le Monde que sur un seul appareil à la fois ordinateur, téléphone ou tablette. Comment ne plus voir ce message ? En cliquant sur » et en vous assurant que vous êtes la seule personne à consulter Le Monde avec ce compte. Que se passera-t-il si vous continuez à lire ici ? Ce message s’affichera sur l’autre appareil. Ce dernier restera connecté avec ce compte. Y a-t-il d’autres limites ? Non. Vous pouvez vous connecter avec votre compte sur autant d’appareils que vous le souhaitez, mais en les utilisant à des moments différents. Vous ignorez qui est l’autre personne ? Nous vous conseillons de modifier votre mot de passe. Cinéma Publié le 28/04/16 mis à jour le 08/12/20 Partager Avec “Hugo et Théo dans le même bateau”, les deux réalisateurs reviennent à la comédie amoureuse qu'ils affectionnent, héritée du cinéma de Demy et de la Nouvelle Vague, tout en revendiquant plus haut et plus fortement que jamais leur identité gay. Faut-il pour autant parler de radicalité ? Rencontre. Vos films ont toujours affirmé une identité gay mais jamais autant que Hugo et Théo dans le même bateau. Vous vous radicalisez ? Jacques Martineau Economiquement, oui, car notre film a été fait avec très peu d'argent. Ça faisait six ans que nous n'avions pas tourné car il a été impossible de financer nos projets, qui étaient justement plus larges, plus chers aussi, avec des éléments éventuellement queer mais pas gay. Il y avait, par exemple, dans une comédie que nous avions écrite, un personnage de garçon qui portait des jupes mais qui était hétéro. Quand vous dites que ce film est plus radicalement gay, c'est une vision française. Au festival de Berlin, il n'a pas été vu comme ça. La presse allemande a été très sensible à la radicalité esthétique du film mais n'a pas parlé d'une radicalité gay. Grâce aux Teddy Awards, ces prix qui ont attiré tout le cinéma gay à Berlin, ce cinéma gay n'est plus à part. En France, on n'en est pas là. Olivier Ducastel Je pense que notre film est plus facile à regarder que l'idée qu'on peut s'en faire. C'est surtout une histoire d'amour. A Berlin, il a été vu par un public très large. Même si on ne peut pas généraliser les réactions que nous avons eues, les garçons hétérosexuels n'ont pas exprimé de malaise mais, au contraire, de la curiosité. Et les femmes hétérosexuelles adorent le film. La radicalité, c'est le fait d'ouvrir le film par une séquence de vingt minutes dans un sex club. Pourquoi avez-vous fait ce choix ? Jacques Martineau C'est bien de rappeler que la sexualité est une part très importante de la relation amoureuse. La littérature et les arts en général l'ont beaucoup occultée par pudibonderie. Sauf les Romantiques, qui mettent le cul avant le cœur, contrairement à ce qu'on croit. C'est important, la fusion des corps ! Et c'est un enjeu de cinéma. Chercher les limites de ce qu'on peut montrer, les frontières entre les images possibles ou pas, courir le risque de se casser la gueule, c'est vraiment ce qui nous anime en tant que cinéastes. Olivier Ducastel Dès Jeanne et le garçon formidable 1998, on a voulu intégrer une scène de sexe dans la fiction. C'était compliqué pour nous de le demander aux acteurs, compliqué de le mettre en scène, mais ça nous intéressait d'affronter cela. Dans Drôle de Félix 2000, nous n'étions pas allés aussi loin que nous le voulions parce que nos deux acteurs étaient hétérosexuels. Les baisers, ça passait mais c'était tout. Si la représentation de la sexualité nous intéresse, c'est sans doute aussi parce que, en tant que spectateurs, on voit très peu de films convaincants sur la question. Pour moi, il y a eu Intimité 2001 de Patrice Chéreau, mais je ne peux pas en citer beaucoup d'autres. “Il y a des livres extrêmement cochons qui sont vendus en librairie et ça ne pose de problème à personne.” Jacques Martineau Olivier Ducastel et Jacques Martineau © AFP PHOTO / FRANCOIS GUILLOT Le cinéma est-il très prude ? Jacques Martineau Le problème du cinéma, c'est ce qui se passe dans la tête du spectateur. Il y a des livres extrêmement cochons qui sont vendus en librairie et ça ne pose de problème à personne. Mais quand les gens voient des personnages faire l'amour à l'écran, ils ne voient plus la création, ils ne voient plus l'expression artistique, ils voient une véritable scène de cul et ça leur pose problème. Oui, dans notre film, nos acteurs font de vraies fellations mais ce n'est pas une scène intime qu'on a volée, c'est un tournage, c'est une mise en scène. Nos acteurs jouent des rôles. Olivier Ducastel On ne voulait pas mettre les spectateurs gays en situation de regarder un porno. On voulait qu'ils suivent une fiction, des personnages, un couple qui se rencontre en faisant l'amour. Mais il n'y a aucune volonté de faire de ces images une source d'excitation sexuelle. “Les discours excluants de la Manif pour tous ont fait beaucoup de mal aux jeunes.”Olivier Ducastel A travers les personnages de Hugo et Théo, vous avez envie de parler aux jeunes homosexuels ? Le film aborde concrètement les questions de prévention... Olivier Ducastel Les gens qui ont 20 ans aujourd'hui, à l'époque de la manif pour tous, ont besoin qu'on fasse des films qui disent “Soyez heureux d'être gays !” Les discours excluants de la Manif pour tous ont fait beaucoup de mal aux jeunes. Sans parler du fait que, dans les familles de ceux qui ont manifesté, il y a évidemment aussi des jeunes gays et pour eux, garçons ou filles, ce sont des choses terribles à vivre. Jacques Martineau On a toujours voulu mettre en scène un jeune séropositif. Ce n'est pas lié à une volonté de prévention, c'est simplement parce qu'on s'inspire de ce qu'on voit autour de nous. Et ce qu'on voit, c'est que les contaminations continuent chez les jeunes. Théo et Hugo dans le même bateau est interdit aux moins de 16 ans et on a très peur qu'il soit au bout d'une semaine interdit aux moins de 18. Ce serait très dommage car c'est un film qui peut intéresser les jeunes, et les aider. François Nambot, Geoffrey Couët et Jeffry Kaplow dans Théo & Hugo dans le même bateau, le film d'Olivier Ducastel et Jacques Martineau © Ecce Films De quoi dépend l'interdiction aux moins de 18 ans ? Olivier Ducastel Du fait qu'il y ait ou pas une action en justice menée par l'association Promouvoir. Il est question que la loi soit modifiée mais on est encore dans le système où Promouvoir peut avoir le dernier mot. La commission de classification des films donne un avis, qui en général suivi par le ministre de la Culture. Sauf que si un recours est déposé, la décision revient alors à un juge. Et ça change tout. Jacques Martineau Le juge ne se prononce pas en vertu des critères de la classification des films mais en vertu du code de protection des mineurs. Or le code des mineurs dit, texto, qu'à partir du moment où il y a un organe sexuel en état d'excitation, le film doit être interdit aux moins de 18 ans. Olivier Ducastel L'avis de la commission de classification, qui représente plusieurs points de vue, devrait suffire. Mais il y a ce vieux décret qui permet de déposer un recours devant un juge. Promouvoir a découvert ce décret il y a une vingtaine d'années et l'utilise à tours de bras. L'interdiction aux moins de 18 ans n'aurait pas seulement pour conséquence de barrer le film à des jeunes, elle éloignerait aussi des adultes qui se diront si c'est interdit aux moins de 18 ans, ce n'est pas ce que je cherche. Alors que Hugo et Théo dans le même bateau n'est pas un film porno. “Le cinéma gay, c'est un énorme iceberg avec très peu de films distribués dans les salles” Olivier Ducastel Le cinéma gay existe-t-il en dehors du festival de Berlin ? Olivier Ducastel Le cinéma gay, c'est un énorme iceberg avec très peu de films distribués dans les salles et une masse de films qui sont accessibles autrement, en dvd, sur internet en vod, dans les festivals. Ceux qu'on peut voir en salles ne sont pas toujours les plus réussis, c'est très variable. Ça dépend également des pays. Internet permet d'avoir accès à des films gays là où ils sont interdits. Nous avons des témoignages d'étudiants de Téhéran qui ont pu voir nos films comme ça. Jacques Martineau Il faudrait de longues pages web pour dire ce qu'est le cinéma gay. L'important, c'est qu'il y a un imaginaire qui circule, un dialogue entre les cinéastes. My Own Private Idaho 1991 de Gus Van Sant est un film fondateur auquel j'ai toujours envie de revenir pour relancer le dialogue et continuer. Je ne crois pas que les gays ont une vision ontologiquement différente du monde, même si on voit forcément le monde différemment quand on est minoritaire. Alain Guiraudie sera en compétition à Cannes. Sa manière d'affirmer son identité gay et son ambition artistique vous intéresse-t-elle ? Jacques Martineau Guiraudie a eu son plus grand succès avec L'Inconnu du lac 2013, sans doute parce que c'est son film le plus accessible du point de vue narratif et le plus beau visuellement. Ce succès est un phénomène très important à observer si on veut parler de radicalité c'est le film le plus gay de Guiraudie qui a rencontré le plus large public. Sa démarche est intellectuellement proche de la nôtre mais il travaille sur des thématiques et des modes de représentation des gays qui sont très différents. C'est ça qui est intéressant. Nous sommes très contents qu'il soit à Cannes car nous allons être dans le jury de la Queer Palme. homosexualité Queer Palm Jacques Martineau Olivier Ducastel Partager Contribuer Sur le même thème Accueil Cinéma Théo & Hugo dans le même bateau, une romance gay dans Paris... Théo & Hugo dans le même bateau, Copyright Ecce Films Passées les 20 minutes très explicites et presque brutales, Théo et Hugo dans le même bateau navigue sur les eaux du film d’auteur. Discussions, passion, circonvolutions, les deux héros tournent autour de la peur du Sida et de leur quotidien somme toute banal. Si le démarrage met tout de suite dans le bain, le film se concentre surtout sur une romance gay qui ouvre au monde. Un film touchant et intimiste. Théo et Hugo fréquentent les back rooms parisiennes sordides, aux échanges immédiats et sans pincettes. C’est pourtant au coeur de cet amas de chair en fusion qu’ils se rencontrent, dans une fulgurance magnifiée par le sexe, mais au-delà du simple plaisir charnel. Les réalisateurs insistent sur les regards. Geoffroy Couët et François Nambot se dévorent du regard, le crush est palpable. Le reste de l’univers n’existe plus, les autres protagonistes de l’orgie sont relégués au second plan. La chair ne fait relayer que l’information de l’épiderme au coeur, du coeur au cerveau, le reste n’est que philosophie. C’est pourtant dans ce moment hors du temps que le drame survient. Un des deux partenaires est séropositif, exposant l’autre aux affres de la maladie, de la trithérapie, de la différence. C’est sur ces bases bancales que débute une histoire d’amour toute en retenue et en confidences. Les deux amants traversent Paris, se frôlant, se fuyant mais se retrouvant toujours, comme deux amants irrésistiblement attirés l’un par l’autre. Malgré la peur de la contamination, malgré les différences, les deux hommes déambulent dans les rues et échangent leurs confidences à coeur ouvert, révélant leur soif de l’autre et leur solitude. Ne pas se laisser heurter par un début très cru et frontal. Les héros cherchent le contact et l’extase comme des portes de sortie. En se trouvant, ils rentrent dans une nouvelle phase de leur vie, éperdument. Le film est avant tout le récit d’une rencontre, d’un coup de foudre entre deux hommes. La nuit est leur témoin et leur irrésistible attraction ne pose aucune question, comme une évidence. Et si le bateau doit voguer sur des eaux troublées, ils l’acceptent de bon coeur. Olivier Ducastel et Jacques Martineau livrent un opus tour à tour brutalement explicite puis magiquement onirique. Théo et Hugo font partie de cette jeunesse avide d’amour et d’avenir, tout simplement. [vc_text_separator title= »SYNOPSIS ET INFOS » color= »custom » border_width= »5″ accent_color= »1e73be »]Dans un sex-club, les corps de Théo et de Hugo se rencontrent, se reconnaissent, se mêlent en une étreinte passionnée. Passé l’emportement du désir et l’exaltation de ce premier moment, les deux jeunes hommes, dégrisés, dans les rues vides du Paris nocturne, se confrontent à leur amour naissant. Sortie le 27 avril 2016 Durée 1h37 Réalisateur Olivier Ducastel, Jacques Martineau Avec Geoffrey Couët, François Nambot, Mario Fanfani Genre Drame [vc_text_separator title= »BANDE ANNONCE » color= »custom » border_width= »5″ accent_color= »1e73be »] Récompensé par le Teddy Award du public à la dernière Berlinale, "Théo et Hugo dans le même bateau", en salles mercredi, met en scène de façon inédite et sensible une romance homosexuelle confrontée à la menace du sida. Ce film, huitième long métrage des cinéastes français Olivier Ducastel et Jacques Martineau, donne l'illusion d'avoir été tourné en temps réel, rappelant l'esprit et le souffle de la Nouvelle vague. Il débute par une longue scène de sexe non simulé dans la "backroom" d'un sexclub de Paris, ce qui lui a valu une interdiction aux moins de 16 ans. La Commission de classification a toutefois estimé que "Théo et Hugo dans un même bateau" ne méritait pas une interdiction totale aux mineurs, sans attendre le nouveau texte réglementaire promis par la nouvelle ministre de la Culture. Fin février, Audrey Azoulay a annoncé son intention de modifier les critères sur lesquels repose l'interdiction des films aux moins de 18 ans, afin de "conforter" les avis de la commission de classification et de limiter les recours en justice. Une décision qui fait suite aux victoires judiciaires d'une association proche des milieux catholiques traditionalistes contre plusieurs films dont "La Vie d'Adèle" d'Abdellatif Kechiche ou "Love" de Gaspar Noé. La ministre s'appuie sur les propositions contenues dans un rapport du Centre national du cinéma CNC qui préconise d'abandonner l'interdiction "automatique" d'un film aux mineurs lorsque celui-ci "comporte des scènes de sexe non simulées ou de très grande violence". L'émotion indicible du coup de foudre Couple à la ville comme à la scène, Olivier Ducastel et Jacques Martineau, duo de cinéastes révélé par "Jeanne et le garçon formidable" 1998 et "Drôle de Félix" 2000, célèbrent dans ce nouveau film la naissance d'un amour entre deux garçons, insistant pour la première fois sur l'émotion indicible du coup de foudre et du désir sexuel qui peut faire oublier la prévention du sida. Abordant leur sujet de façon presque documentaire à certains moments, les réalisateurs signent une réelle et émouvante histoire d'amour, où les sentiments plus forts que tout résistent à l'adversité. Après une rencontre dans l'anonymat des corps et une étreinte passionnée, Théo et Hugo, magistralement interprétés par Geoffrey Couët, vu dans le Saint-Laurent de Bertrand Bonello, et la révélation François Nambot, se dégrisent en pleine nuit dans les rues de Paris. A l'aune de leur amour naissant mais aussi de la menace qui pèsent sur eux, du fait de leur imprudence. "Nous savions dès que nous avons lancé l'écriture, qu'il nous faudrait rester dans ce que nous appelons la catégorie des films pirates, totalement en dehors des circuits de financement habituels du cinéma français. Cela nous a offert une grande liberté", explique Olivier Ducastel. "Cela ne valait pas la peine de se mettre en marge si c'était pour produire à la fin des images édulcorées. Nous voulions vérifier qu'il était possible de filmer la sexualité en s'écartant à la fois des interdits moraux et de la grammaire classique des films pornographiques", ajoute-t-il. Pour la première fois, la prophylaxie pré-exposition PrEP, nouvelle stratégie de prévention du VIH à mettre en place 48 heures après un rapport sexuel à risque, est également abordée au cinéma de façon explicite et pédagogique. Edit Jump to Release Dates 58 Also Known As AKA 25 Release Dates Germany 15 February 2016 Berlin International Film Festival France 2 March 2016 Lyon Écrans Mixtes Festival Mexico 4 March 2016 Guadalajara International Film Festival Czechia 21 March 2016 Prague International Film Festival UK 21 March 2016 London LGBT Film Festival USA 2 April 2016 Boston LGBT Film Festival Germany 27 April 2016 Freiburg Gay Film Festival France 27 April 2016 Croatia 11 May 2016 Subversive Film Festival Canada 27 May 2016 Inside Out Toronto LGBT Film Festival USA 4 June 2016 "release-date-item__country-name">Canada 12 August 2016 Vancouver Queer Film Festival USA 12 August 2016 North Carolina Gay & Lesbian Film Festival USA 26 August 2016 Honolulu Rainbow Film Festival UK 9 September 2016 USA 10 September 2016 Austin Gay and Lesbian International Film Festival Serbia 12 September 2016 Merlinka International Queer Film Festival Hong Kong 18 September 2016 Hong Kong Lesbian and Gay Film Festival Australia 22 September 2016 Queer Screen Film Fest USA 30 September 2016 Tampa International Gay and Lesbian Film Festival USA 3 October 2016 Out on Film - Atlanta USA 7 October 2016 Wicked Queer Boston LGBT Film Festival USA 8 October 2016 Out at the Movies LGBT Film Festival USA 8 October 2016 Reel Q Pittsburgh LGBT Film Festival Canada 14 October 2016 Reel Pride Film Festival USA 14 October 2016 Southwest Gay & Lesbian Film Festival USA 15 October 2016 Chicago International Film Festival USA 15 October 2016 Reel Affirmations International Gay and Lesbian Film Festival USA 15 October 2016 Sacramento International Gay and Lesbian Film Festival Germany 17 October 2016 Queer Film Festival München USA 18 October 2016 Seattle Queer Film Festival Germany 20 October 2016 Poland 21 October 2016 USA 21 October 2016 Newfest New York LGBT Film Festival Canada 5 November 2016 Rainbow Visions Edmonton Sweden 9 November 2016 Stockholm International Film Festival Brazil 10 November 2016 Mix Brasil Festival of Sexual Diversity Canada 12 November 2016 Ottawa LGBT Film Festival Russia 20 November 2016 Side by Side LGBT International Film Festival Serbia 9 December 2016 Belgrade Queer Film Festival USA 27 January 2017 limited Canada 2 February 2017 Reelout Queer Film Festival Philippines 18 April 2017 Blu-ray release Hungary 15 September 2017 Humen Film Festival Also Known As AKA original title Théo et Hugo dans le même bateau Brazil Théo e Hugo Canada English title Paris 0559 Theo & Hugo Europe Berlin film festival title Paris 0559 France Théo et Hugo dans le même bateau Germany Théo & Hugo Hungary Théo és Hugo India English title Théo et Hugo dans le même bateau Indonesia English title Paris 0559 Théo & Hugo Japan Japanese title Théo et Hugo dans le même bateau Norway Theo & Hugo - Paris 0559 Philippines English title Paris 0559 Théo & Hugo Poland Paryż 559 Russia Тео и Юго в одной лодке Serbia Тео и Иго Singapore English title Paris 0559 Théo & Hugo South Korea 파리 0559 Spain Théo & Hugo París 559 Sweden Paris 0559 Taiwan 5點59分愛上你 Turkey Turkish title Paris 559 United Arab Emirates Paris 0559 Théo & Hugo UK While Paris Was Sleeping USA Paris 0559 Théo & Hugo World-wide English title Paris 0559 Contribute to This Page

theo et hugo dans le meme bateau